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Un bout de chemin ensemble...  (photo personnelle - 2005)

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 17:04

La tour Eiffel fut entreprise par Gustave Eiffel & Cie. Les études furent commencées en 1884 par l’architecte Stephen Sauvestre. Sa construction ne démarra qu’en 1887 et se finit en 1889 ; elle dura plus exactement 2 ans, 2 mois et 5 jours. Elle nécessita 18038 pièces métalliques et 2.500.000 rivets d’où son poids impressionnant de 10.100 tonnes. Elle fut inaugurée le 31 mars 1889 à l’occasion de l’Exposition Universelle de cette année qui eut lieu à Paris mais devait être démontée à la fin de l’exposition. Son immense taille (324 mètres avec l’antenne) et sa forme si particulière en ont fait le symbole de la France et de sa capitale. Depuis 1889, on a recensé (au 31 décembre 2005) 222.871.612 visiteurs. Elle joua pendant les deux guerres mondiales un rôle très important puisqu’elle servit d’émetteur radio et permit aussi d’intercepter un message stratégique des allemands.

   J’ai choisi cette photo, bien que peu originale, car le premier plan n’est pas la tour Eiffel en elle-même mais un arbre. Le contraste entre l’immense tour et le « petit » arbre est assez intéressant car dans la ville de Paris, ou le béton est omniprésent, où tout est morne ; ce « petit coin de verdure » dans l’immense jungle urbaine fait plaisir à voir. J’ai aussi choisi cette photo car lorsque l’on parle de Paris la première image qui nous vient à l’esprit est la tour Eiffel. Bien qu’imposante par sa grandeur, son apparence est assez svelte. Je ne pensais pas pouvoir être impressionnée par un édifice mais lorsque l’on aperçoit cette merveille on ne peut être qu’impressionné. J’ai aussi choisi cette photo car les courts instants passés dans la tour Eiffel furent assez amusants.

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 16:36

La photographie ci-jointe, prise en mars 2007, est celle des jardins de l'Orangerie du Château de Versailles. Imaginés et conçus par Le Nôtre, ils sont orientés au Sud, situés en contre-bas du paterne du Midi, et encadrés par des escaliers nommés les "Cent Marches". Composés au centre d'un vaste bassin circulaire sans ornement, de 6 carrés de parterre de broderie de gazon agrémentés de petits buis sculptés, et, en arrière plan, d'un  immense bassin nu, ils attirent notre regard et nous donnent une sensation d'infini et d'apaisement.

L'orangerie comporte plus d'un millier d'arbres délicats, tels que des orangers provenant d'Espagne, du Portugal ou de l'Italie, des citronniers, des grenadiers (certains ayant plus de deux cents ans), des lauriers roses et même des palmiers depuis le début du XXe siècle. Ces arbres, craignant le froid sont rentrés en mi-octobre et ressortis en mi-mai, ce qui explique qu'ils n'apparaissent pas sur la photographie. Ils donnent peu de fruits car ils sont taillés en boule pour la décoration.

J'ai choisi cette photographie car je trouvais la perfection des jardins à la fois pour la coupe des arbustes et les dessins de broderie formés par le gazon fascinante. Le contraste entre l'aspect symbolique et compliqué de la pelouse et  des arbustes avec le naturel et la simplicité des points d'eau rend le paysage agréable à regarder. Le génie de Le Nôtre porte à la perfection l'art de corriger la nature pour y imposer la symétrie des jardins à la française.
De plus, l'Orangerie a plutôt l'habitude d'être vue avec ses arbres fruitiers et non nue comme elle apparaît sur cette illustration. Celle-ci représente, lorsque les arbres sont sortis, un coin d'exotisme dans Paris et ses alentours. Cette nuance montre la grandeur du roi soleil qui importe à son château un brin des pays du Sud de l'Europe, c'est à dire du Portugal, d'Espagne ou encore d'Italie.

Et pour finir, je dirai que nous avons eu la chance de visiter les jardins du château de Versailles sous un  ciel bleu et un soleil éclatant, ce qui nous a permis de profiter de la "Beauté".

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 16:27

La Tour Eiffel fut construite sur le Champ de Mars, à l’occasion de l’exposition universelle de 1889. A l’origine, ce monument métallique devait être éphémère. Son constructeur et ingénieur, Gustave Eiffel, aura mis plus de deux ans pour réussir ce chef d’œuvre, avec l’aide de dessinateurs, de techniciens…La Tour s’appuie sur quatre piliers en arc et trois plates formes ont été édifiées, soit trois étages. Sa construction aura nécessité 2 500 000 rivets assemblés à 15 000 pièces métalliques. Avec une hauteur de 324 mètres et un poids de 7 000 tonnes, la Tour Eiffel est un monument très imposant. Au sommet on peut y trouver une station météorologique et de communications radio où les premiers essais de la nouvelle technologie furent réalisées.

 Avec une moyenne de 1,6 millions de visiteurs par an, la Tour Eiffel est le deuxième site le plus visité après DisneyLand Resort Paris.

 

             La Tour Eiffel est, pour moi, la figure emblématique de Paris. Comment ne pas être fasciné par un tel monument ? Son originalité, sa prestance en auront étonné plus d’un… En effet, elle est située en plein centre de Paris et lorsqu’on se trouve au sommet la vue est splendide. Nous dominons la capitale. A côté, les autres monuments nous paraissent de moins grande importance.

               De plus, elle est construite sur un emplacement vaste et piétonnier, un des rares de Paris. Grâce à cela, elle est davantage mise en valeur que d’autres sites culturels de Paris tels Le Louvre ou encore le Musée d’Orsay. Et quand la nuit tombe, elle s’illumine de mille feux laissant place à 324 mètres d’étincelles qui se dressent au dessus de Paris. Il s’agit là d’un souvenir unique.

              Voilà pourquoi la Tour Eiffel reste le monument de la capitale qui m’a le plus marqué. D’ailleurs quand on dit « Paris », que ce soit en France ou aux antipodes, on répond de suite : « Tour Eiffel ». Et cela fait 118 ans que la Tour Eiffel est célèbre …

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 16:19

Au musée de la Shoah, le mur des noms présente les prénoms, noms et années de naissance des victimes juives déportées de France dans le cadre de « la solution finale » mise en œuvre par l’Allemagne nazie avec la complicité du gouvernement de Vichy. Les victimes sont inscrites par année de déportation dans l’ordre alphabétique. Sur ce mur ont été gravés les noms des 76 000 juifs, parmi eux 11 000 enfants. La plupart ont été assassinés à Auschwitz Birkenau. Quelque 2500 personnes seulement ont survécu à leur déportation. L’équipe du mémorial a constitué la liste des victimes qui a été remise au graveur en octobre 2002 en s’aidant des originaux établis au départ des convois et des fichiers des camps d’internement. Ces données ont été complétées, jusqu’en 2002 par les formulaires renvoyés par les familles de déportés sollicitées par la presse. Ce mur restitue une identité à des enfants, des femmes et des hommes que les nazis ont tenté d’éradiquer de la surface de la terre. Leurs noms gravés dans la pierre perpétuent le souvenir.

  Photographie tirée du site Internet de la Fondation de France 

  Le mur des noms représente les pierres de la mémoire.Une infinité de noms, de plus en plus petits, mais toujours là, toujours visibles et gravés dans la pierre, car jamais personne ne pourra les faire disparaître de quelque manière que ce soit. Les trois bougies sont le symbole du souvenir qui ne doit jamais s’éteindre et doit rester ancrer dans les mémoires de tous les visiteurs du musée de la Shoah pour qu’ils puissent réaliser l’ampleur des souffrances qu’ont vécues les Juifs et leur rendre ainsi hommage. Chaque bougie représente probablement un membre d’une famille, tel que l’enfant, la mère ou le père.

   J’ai choisi également cette photographie car personne n’a jamais vraiment trouvé le « comment » et le « pourquoi » de ce meurtre de masse, ni à l’époque ni aujourd’hui, alors j’ai pensé utile de choisir cette photographie car pour moi ceci est un massacre d’innocents. En effet pour les nazis, les Juifs étaient d’une race « inférieure » à la leur et devaient donc être exterminés. Cette multitude de noms sur ce mur m’a beaucoup touché car je me suis mise à la place des familles avant, pendant et après ce massacre.

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 13:05

C'est en 1884, que pour la première fois, deux ingénieurs de l'entreprise Eiffel ont l'idée d'une tour très haute, conçue comme un grand pylône. Ce projet ne va pas tout de suite satisfaire Eiffel. En effet, ce n'est qu'après avoir fait appel à l'architecte Sauvestre, qui va apporter au projet quelques modifications, qu'il va l'accepter. Pour pouvoir construire cette tour, Eiffel va essayer de convaincre Lockroy, le ministre du commerce et de l'industrie de l'époque, de lancer un concours ayant pour objet "d'étudier la possibilité d'élever sur le Champs de Mars une tour de fer à base carrée de 125 m de côté à la base et de 300m de hauteur ". Eiffel gagnera le concours et sera donc autorisé à construire sa tour pour l'exposition universelle de 1889. Les travaux commencent en 1887 et malgré la protestation de certains artistes, les travaux vont se poursuivre pour s'achever en mars 1889. Le prix prévu pour les travaux (3 155 000 francs) aura été multiplié par 2,5. Construite en fer puddlé, la tour est protégée de l'oxydation par plusieurs couches de peinture. La tour Eiffel a toujours bénéficié des dernières innovations en matière d'éclairage.  Depuis les années 1970, elle a gagné en popularité (6 millions d'entrées annuelles) et est devenue un des plus puissants symboles de la France.

Tout d'abord, la principale raison pour laquelle j'ai choisi la tour Eiffel c'est parce qu'à mon avis c'est le monument qui symbolise le mieux la capitale et le pays tout entier. C'est le monument français qui a la plus grande renommée mondiale et qui est le plus visité de tous les monuments français. Ensuite, j'ai trouvé que la tour Eiffel était de loin le plus beau monument que l'on ait visité lors du voyage. De plus, les sensations et les vues que l'on a de la ville de Paris lorsque l'on est en haut de la tour étaient vraiment exceptionnelles. Enfin, j'ai choisi ce monument car il se détache de tous les autres monuments que l'on a visités par sa grandeur, son ampleur et son architecture.

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 08:47

La construction de la cathédrale Notre Dame de Paris a débuté au XIIe siècle. C'est en 1163 que la première pierre du choeur est posée. Elle a été construite sur l'ancienne basilique Saint Etienne. C'est la période de l'architecture gothique, avec une nouvelle technique : la clef de voûte qui permet d'élever des églises de plus en plus hautes. Dès 1182, elle fut le siège de grands événements politiques et religieux. Sa construction se fait sur trois siècles du XII au XIVe siècle et elle est achevée en 1351. Elle a connu des modifications à partir du XVIIIe siècle. La plus importante de cette période est celle de la modification du choeur par Louis XVI. Elle a aussi connu des rénovations au XIXe siècle. Au XXe siècle, la cathédrale Notre Dame de Paris est devenue un édifice emblématique de la France, elle jouit d'un immense prestige.

J'ai décidé de prendre la cathédrale Notre Dame de Paris, car, depuis que je suis toute petite, je voulais la visiter, surtout après avoir vu le Bossu de Notre Dame de Walt Disney. J'ai trouvé ce monument ggigantesque. Comment à l'époque pouvaient-ils créer de si grands bâtiments ? Je suis stupéfaite par cela. Lorsque l'on entre dans cet endroit, on a un profond respect pour ce monument si vieux et si grand. J'ai adoré le petit tour que nous avons fait avec Mme OZ Uzun et ses commentaires. Grâce à ce concours, j'ai pu en apprendre davantage sur cet édifice qui me fascinait depuis toute petite. La cathédrale est magnifique à l'extérieur et à l'intérieur avec ses deux grandes roses qui représentent au Nord l'Ancien Testament et au Sud le Nouveau Testament. J'ai bien aimé aussi la petite maquette qui représente la construction de Notre Dame de Paris. J'espère y retourner un jour et monter dans les tours, d'où l'on doit avoir une superbe vue sur Paris.

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 08:15

ExplicationLa  

La Vénus de Milo, actuellement conservée au Musée du Louvre, est une célèbre sculpture antique, datant environ de 130 à 90 avant Jésus Christ, et symbolisant l'idéal de beauté, étant donné que la femme représentée est Aphrodite, dite "Venus" pour les Romains. On l'appelle Venus de Milo car celle-ci fut découverte à Milo, une île de la Mer Egée par un paysan nommé Yorgos Kentotras à l'intérieur d'une niche enfouie dans les ruines de l'antique cité de Milo. Lorsqu'elle fut découverte, cette statue était fragmentée au niveau du buste, des jambes et des bras. Même si aujourd'hui, la Venus de Milo n'est pas entièrement reconstruite, on peut supposer, d'après sa posture que c'était une représentation d'une Aphrodite victorieuse, admirant sa beauté sur un bouclier posé sur son genou et tenant une pomme de la main gauche, pouvant être la pomme à Pâris (prince troyen de la mythologie grecque). "Milo" ressemble à "Melos" qui signifie pomme en grec. Cette statue est semblable notamment à la Venus de Capoue, à la Venus d'Arles ou bien encore à la Venus de Genitrix.

J’ai choisi cette sculpture, tout d’abord car c’est la statue la plus regardée au musée du Louvre, mais aussi car elle cache derrière elle un certain mystère et tout un mythe. En effet, malgré les suppositions que les chercheurs ont pu faire, personne ne connaît ni n’a vu la statue en parfait état, avec tous ses membres etc., sauf bien sûr son créateur qui lui aussi est inconnu et peut-être certaines personnes de la population grecque de l’époque. Certains pensent même qu’elle était accoudée sur l'épaule d'Arès, le dieu de la guerre qui était son amant. Cette déesse cache moult secrets qui ne pourront jamais être connus. Au point de vue esthétique, le travail réalisé par le sculpteur est remarquable. En effet il a parfaitement dessiné les traits du visage révélant chez Aphrodite une certaine malice, presque poussée vers la méchanceté que ce soit au niveau de la bouche, du nez ou bien encore des yeux un peu obliques qui lui donne un regard fixe et un caractère étrange. C’est la représentation parfaite de l’allégorie de la beauté, montrant un peu d’ironie et de cruauté.

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 08:00

 La Tour Eiffel a été construite entre 1887 et 1889, elle porte le nom de son créateur : Monsieur Gustave Eiffel. Elle a été créée pour l'exposition universelle de 1889 dans le but de montrer le savoir-faire technologique français avec ses 293 mètres de hauteur (sans l’antenne de communication, 324 mètres avec) et ses 125 mètres de côté. Elle est le « clou » de cette exposition. Au fil des années, la Tour Eiffel va devenir le monument français le plus connu au monde. Grâce à l’arrivée du tourisme international, elle est une exploitation commerciale rentable avec ces dernières années une fréquentation supérieure à 6 Millions de visiteurs par an. En plus d’avoir une fonction touristique, la Tour Eiffel, par sa très grande taille, est utilisée comme antenne de communication à longue distance par les radios et les télévisions.

   J'ai décidé de choisir la Tour Eiffel car elle était et reste une prouesse architecturale (érigée en 1889 : le plus haut bâtiment du monde à l’époque). C'est le monument le plus représentatif de la France et de l'Europe dans le monde et qui contribue donc à faire de Paris, la ville, et de la France, le Pays le plus touristique au monde. De plus, au cours du voyage à Paris, j’ai pu pour la première fois monter tout en haut de la Tour Eiffel et j’ai pu observer qu’elle offre une vue magnifique sur Paris (on peut voir le jardin du Trocadéro, les Champs Elysées, l’Arc de Triomphe, le Champ de Mars et différents ponts de Paris  etc.). Elle a une grande histoire puisqu’elle a traversé entre autres les 2 guerres mondiales pendant lesquelles elle a permis d’espionner les communications allemandes. La Tour Eiffel est donc un monument très important pour la France et les Français qui s'inscrit dans la durée, puisqu'il est connu depuis la fin du XIXe siècle.

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15 avril 2007 7 15 /04 /avril /2007 22:26
Un médaillon pas comme les autres…
 
 Cette photographie nous montre un des 135 médaillons qui concrétisent le tracé du méridien 0 de Paris qui a été défini en 1667. Cette ligne imaginaire est une ligne droite reliant le Pôle Nord et le Pôle Sud qui traverse du nord au sud les rues de la capitale française. Cependant, depuis 1911, le méridien de Paris a été remplacé par le méridien de Greenwich en Angleterre. Le méridien de Paris a été matérialisé par ces médaillons de bronze de 12 centimètres de diamètre qu’a réalisé l’artiste néerlandais Jan Dibbets en 1984 lors de la commémoration du bicentenaire de la naissance d’Arago qui est un physicien français qui a participé à l’élaboration du méridien de Paris. Cette succession de médaillons relie l’observatoire de Paris qui a été construit en 1667 (année de définition du méridien et lieu de mort d’Arago) et le  Sacré-Cœur. Ces médaillons portent l’inscription N et S indiquant le nord et le sud et le nom d’« Arago ». Les médaillons sont répartis de manière inégale et beaucoup d’entre eux ont malheureusement disparu, suite à des travaux et des vols.
 

 Mon choix s’est porté sur ce symbole de Paris car il est l’un des plus récurrent, celui que l’on croise le plus sans y porter grande attention, on marche dessus on le piétine mais beaucoup ne savent pas ce qu’il représente. Ce symbole est présent à de multiples endroits de la capitale tels que la rue Michelet, les jardins du Luxembourg, l’église Sainte Sulpice, dans le Louvre et à d’autres endroits. La première fois que je me suis rendu à Paris, ce symbole m’a intrigué et personne n’a su me dire exactement de quoi il s’agissait. Je pensais qu’il s’agissait d’un symbole mystérieux, un mystère de Paris et j’ai alors cherché ce qu’il représentait et j’ai donc découvert qu’il s’agissait du premier méridien 0 et que ce médaillon n’avait rien d’une relique étant donné qu’il n’a que 23 ans. Plus tard, j’ai retrouvé ce méridien et ses médaillons en bronze dans un livre désormais très célèbre qui a été porté à l’écran, le fameux « Da Vince Code » dans lequel le méridien est un indice de l’énigme que cherche à résoudre Langdon et sur lequel beaucoup de gens se sont penchés, arpentant la capitale sur les traces de ce livre de Dan Brown.
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15 avril 2007 7 15 /04 /avril /2007 22:14
             17, rue Geoffroy-l'Asnier dans le quatrième arrondissement de Paris, se trouve le mémorial de la Shoah, qui est ouvert au public depuis janvier en 2005. Au sous-sol de celui se trouve le tombeau du martyr juif inconnu.
Ce tombeau représente une étoile de David en marbre noir, qui symbolise les 6 000 000 morts juifs. Le 24 février 1957, leurs cendres ont alors été placées ici. Celles-ci ont été récupérées dans les camps de la mort, mais aussi dans les ruines du ghetto de Varsovie. Elles ont été mélangées à la terre d’Israël par Rabbin Jacob Kaplan, comme le voulait la tradition.
Au centre de cette étoile jaillie une flamme, et au dessus se trouve un trou qui laisse apparaître la lumière. À l’arrière de cette étoile sur un mur qe trouve une phrase en hébreu, extraite du chapitre des « Lamentations II 21 » de la Torah. En français, cette phrase signifie : « Regardez et voyez s’il est douleur pareille à ma douleur. Jeunes et vieux, nos filles et nos fils fauchés par le glaive ».

 J’ai choisi ce tombeau parce que dès que je suis rentrée dans cette pièce j’ai trouvé cet endroit magnifique, avec une ambiance agréable, et une belle représentation. C’est un bel hommage que l’on fait ici aux Juifs de par ce mémorial mais aussi par cette étoile.
Grâce à cette flamme qui représente pour moi la vie, un honneur, un respect, le besoin de se souvenir, mais surtout la volonté que cet évènement de la guerre reste marqué pour l'éternité dans le monde. Par le feu, le souvenir est toujours là, très brûlant dans le cœur des gens qui ont vécu cette maudite guerre, qui fit tant de morts qu'on ne peut pas oublier grâce à cette flamme bien vivante !
L’entrée de lumière crée une ambiance moins lourde, si cette lumière n’était pas là il ferait vraiment noir lugubre et surtout un environnement morbide, et je pense que ce n’était point dans cette intention que ce tombeau fut placé là. Dans le noir, plus aucune vie ne serait présente donc plus de vie, plus de souvenirs.
La phrase écrite en hébreu cherche à marquer l’esprit des visiteurs, pour moi, la personne qui a pensé mettre cette phrase avait dans le but de nous dire qu’aucune de nos douleurs ne peut être comparé ni égale à celle des juifs morts durant cette guerre. En utilisant l’article possessif « nos » cette personne évoque la patrie et constate que quelque soit l’âge, le sexe, les gens sont détruits par les blessures de la guerre, de l’horreur, en évoquant cette blessure par le glaive.
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